PLAK'ART
association art actuel
 
Apt 1999
jean-daniel Berclaz
installations itinérantes

 

 

clic sur les images pour agrandir

"rendez-vous secrets"
cabine labyrinthe
"rendez-vous secrets"
cabine labyrinthe

"rendez-vous secrets"
cabine labyrinthe

"rendez-vous secrets"
cabine labyrinthe
jardin de la Maison du Parc Régional du Luberon
"rendez-vous secrets"
cabine labyrinthe
"rendez-vous secrets"
cabine labyrinthe
jardin public
Rendez-vous anonymes
fixés par envois postaux (publipostage) en plusieurs lieux de la ville,
photo du lieu choisi et photo des rencontres
avec pour point central une "cabine de discussion"
 

 

Il était une fois...

Jean Daniel Berclaz aime raconter des histoires, histoire des villes où il a été, de sa Suisse originelle aux soeurs méditerranéennes Marseille-Barcelone-Gênes, histoire de voyages, histoire de paysages ou histoire de soi. Mais n’est-ce pas la même chose? Berclaz est dans son élément dés qu’il sort des sentiers institutionnels, qu’il investit ces lieux que l’on dit informels, qu’il les déchiffre et qu’il en tire sa matière, son étrangeté, son regard particulier. Et c’est un kiosque à souvenirs à Fribourg pour un quartier condamné, un parcours d’artistes Poste Nomade, Station Méditerranée pour les 2600 ans de Marseille, cabines individuelles et repas à Nimes à l’Hôtel des Allégories, c’est aussi Paris, New-York, Marseille (Coupe-vent/Coup de vent), Tokyo, Apt...


Apt?
Prochain arrêt d’un nomade aux aguêts, cherchant la clef de chaque lieu ou non-lieu, son éphémère, sa poésie. Avec l’association "D’un point de vue bleu", il travaille déjà à Marseille sur le développement artistique et plastique dans l’environnement naturel et la relation avec le paysage urbain.
Il invite à découvrir ce que l’on connait, ses impossibles et ses points de vue. Des yeux neufs offrent des propositions nouvelles, dérangeantes peut-être, amusantes et mobiles mais toujours aptésiennes. "La distance n’existe plus que dans la mémoire" dit-il dans Poste Nomade, Station Méditerranée, sa dernière création pour son Musée du Point de Vue (Marseille).
Le téléphone est un moyen de défier la course du soleil, d’échapper au temps, à la distance et donc à la mémoire. Du téléphone il sera question, pour marquer le temps et le regard, pour garder à Apt ses airs (aires?) de mystères, "ses couches souterraines qui cachent d’autres vies". Une invitation au voyage pour "participer au spectacle de la ville", de sa propre ville.